BASE DE DONNÉES
            • Back to the roots

            • Cinéaste(s) : Nathalie Mihee LEMOINE
            • Date : 1989
            • Pays d'origine : Belgique
            • Durée : 00:04:50
            • Format : Film super 8
            • Coloration : Couleur
            • Son : Sonore
            • Langue initiale : Anglais
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            • Résumé
            • "Seule avec des dizaines d'adultes adoptés en Europe ou aux Etats-Unis, je retourne dans mon pays natal. Pour certains, c'est 10 ou 20 ans après leur adoption. Un programme de retour au pays organisé conjointement par le gouvernement de la Corée du Sud et l'Université Nationale de Séoul en 1989.
              Un court métrage expérimental réalisé en super 8 (mm) reflétant l'esprit d'un premier retour chez soi... visite d'une école, des danses traditionnelles, de classes où l'on apprend à ces enfants adoptés ce qu'est être coréen. Ce qui a attiré mon regard... les publicités télévisuelles, les rues, les marchés, Sorak Mountain, la plage et sa "défense" contre les coréens du nord."
              (Nathalie Mihee Lemoine)
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              "Along with 20 or so adult adoptees from Europe and The U.S., I am returning back to my birth country. For some, it is 10-20 years after their adoption. A home-coming program organized by the South Korean government and the Seoul National University in 1989.
              An experimental short super 8 (mm) film reflecting the mood of a first visit to the motherland... school class visit, traditional dancing, classes to teach to those adoptees what is to be Korean.
              What I am visually attracted to.... TV ads, streets, markets, Sorak Mountain, beach with "protection" against the North Koreans."
              (Nathalie Mihee Lemoine)
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            • Biographie cinéaste
            • Nathalie Mihee LEMOINE

              « La vie de Byol (Mihee-Nathalie Lemoine) est une série de questions alternatives qui sont probablement sans réponse. Ou peut‑être cette réponse évasive qui en 2003 donnait son titre à sa dixième exposition individuelle en Corée : « Oui, mais non ». Cette personne cherche avec succès depuis des années dans sa vie et son travail à faire cohabiter pacifiquement quoique sans compromis tous ces dilèmmes. Son histoire pourrait être celle de dizaines de milliers de coréens, de tous ces adoptés qu’elle a si vaillamment oeuvré à défendre. Et les questions qui traversent son oeuvre, tout son travail avec la diaspora artistique coréenne sont un miroir où se reflètent les défis que lancent la mondialisation et la post-modernité de la Corée. Byol, queer, artiste engagé-e et adopté-e, qui pourrait a priori passer pour un-e outsider, peut tout aussi bien être considéré-e comme un symbole de la manière dont la Corée gère son rapport conflictuel et complexe avec le monde extérieur. » Benjamin Joineau, Séoul 2004.

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