BASE DE DONNÉES
            • Dans un océan d’images

              J’ai vu le tumulte du monde

            • Cinéaste(s) : Helen DOYLE
            • Date : 2013
            • Pays d'origine : Canada
            • Durée : 01:30:00
            • Format :
            • Coloration : Couleur
            • Son : Sonore
            • Langue initiale : Français / Anglais
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            • Résumé
            • En 2012, Bernard Émond jetait un pavé dans la mare en publiant un essai intitulé "Il y a trop d’images". Comment lui donner tout à fait tort ? Télévision, cinéma, Internet, téléphones intelligents... les images ont en effet envahi l’espace privé et public. Mais dans ce déluge de formes et de mouvements, dans cette instantanéité toujours plus suffocante, les images peuvent-elles encore faire sens ? En ont-elles encore même le temps, ou la prétention ? Ce sont ces questions, troublantes et intensément d’actualité, qu’Helen Doyle ("Les messagers", "Birlyant, une histoire tchétchène") a décidé de poser avec pertinence. Animée par sa passion sans borne pour la photographie, elle nous emmène alors à la rencontre de différents artistes, chacun décidé à faire ou refaire de l’image un lieu d’exploration du monde et de nous mêmes, chacun exposant avec minutie sa stratégie pour capturer à nouveau notre attention.

              Prix du meilleur film canadien, 31e FIFA (Festival International du Film sur l'Art), Montréal.
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              In 2012, Bernard Émond wrote a very polemical article called "There are too many images." Television, cinema, the Internet, smartphones... images seem to have invaded private and public space. But do they still make sense? Helen Doyle asks the question. Very passionate about photography, she goes to meet various artists, each of them willing to explore the world thanks to image.
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            • Biographie cinéaste
            • Helen DOYLE

              Scénariste et réalisatrice indépendante, Helen Doyle fut, en 1973, co-fondatrice du groupe Vidéo Femmes au Québèc. Elle y réalise et produit des documents percutants sur la condition féminine. Elle se consacrera par la suite à la scénarisation et réalisation à temps plein et poursuivra sa quête d’écriture de « documenteurs », terme qu’elle emprunte à un titre de film d’Agnès Varda. En 2004, elle fonde sa propre maison de production, Tatouages de la mémoire et, en collaboration avec Germain Bonneau, produira ses « inclassables ». En 2008, son travail est reconnu par une bourse de carrière du Conseil des arts et des lettres du Québec, puis par une rétrospective en 2009 à la Cinémathèque québécoise. Elle est ensuite récipiendaire de la bourse de résidence à Rome en 2011.
              En plus de travailler sur le montage financier de son projet de documentaire "Appunti en Italie", Helen tourne un court métrage onirique, "L’artiste dans son for intérieur", inspirée par les « livres détournés » et autres oeuvres de l’artiste Française Danielle-Marie Chahut. Bénéficiant de résidences d’artistes qui l’accueillent pour ce projet, le tournage a lieu au Centquatre-Paris et la postproduction aura lieu chez PRIM à Montréal. L’automne 2014 verra la sortie de "La liberté de voir", un coffret accompagné d’une monographie sur son oeuvre, réalisé par Vidéo Femmes et les Éditions du Remue-ménage.

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