BASE DE DONNÉES
            • Deux vies d'Eva (Les)

            • Cinéaste(s) : Esther HOFFENBERG
            • Date : 2005
            • Pays d'origine : France
            • Durée : 01:25:00
            • Format :
            • Coloration : Couleur
            • Son : Sonore
            • Langue initiale : Français
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            • Résumé
            • Quand Eva épouse Sam en 1945, elle épouse aussi son histoire et son identité.
              Allemande et protestante en Pologne, Eva devient juive en France.
              La réussite du couple semble complète quand une première bouffée délirante marque, en 1970, l'apparition des troubles mentaux d'Eva.
              J'ai abordé la question posée par la maladie d'Eva, ma mère, en reliant son destin à la violence de la guerre en Europe.

              Prix du Patrimoine, Cinéma du Réel, Paris, 2005
              Prix des Escales Documentaires, La Rochelle, 2005
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              When Eva married Sam in 1945, she made hers his story and his identity.
              Eva was protestant and German in Poland, she became Jewish in France.
              Eva and Sam were a successful couple when suddenly, in 1970, Eva, my mother, experienced a delirious episode, the first sign of her mental distress.
              I approached the question raised by my mother’s illness by linking the tragic dimension of her destiny to the violence of the war in Europe.
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            • Biographie cinéaste
            • Esther HOFFENBERG

              Esther Hoffenberg débute en co-réalisant avec Myriam Abramowicz « Comme si c’était hier » (Belgique, 1980) premier film consacré au sauvetage des enfants juifs en Belgique, et édité par Doriane Films en 2021.
              Après avoir créé la société Lapsus en 1989, et produit une soixantaine de films documentaires, dont de nombreux grands formats avec ARTE et des partenaires internationaux, elle revient à la réalisation en 2005 avec « Les deux vies d’Eva », une évocation du destin de sa mère (Prix du Patrimoine au Cinéma du Réel, Prix des escales documentaires 2005). Suivent « Discorama, signé Glaser » (Etoile de la Scam 2008), film sur une grande figure de la télévision française des années 60, « Au pays du nucléaire » qui aborde les enjeux du nucléaire sur le territoire de La Hague en 2009, puis deux portraits de femmes avant-gardistes : « Violette Leduc, la chasse à l’amour » (Prix Françoise Giroud du meilleur portrait télévisuel, Prix du documentaire au FFGL de Turin et à « Some prefer cake » de Bologne 2014), et « Bernadette Lafont, et Dieu créa la femme libre », présenté au Festival de Cannes (Sélection officielle, Cannes Classics) en 2016.

              Pour plus d’info, consultez le site : https://estherhoffenberg.fr

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