BASE DE DONNÉES
            • Donner c'est aimer

            • Cinéaste(s) : Carole ROUSSOPOULOS
            • Date : 2002
            • Pays d'origine : Suisse
            • Durée : 00:22:00
            • Format :
            • Coloration : Couleur
            • Son : Sonore
            • Langue initiale : Français
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            • Résumé
            • En janvier 2002, une soixantaine d’enfants transplantés, originaires de quatorze pays, ont été invités par Liz Schick à venir passer une semaine à Anzère, une station de ski valaisanne en Suisse. Ils nous parlent de leurs interventions lourdes, mais aussi de leur plaisir à se retrouver, menant les mêmes activités que les jeunes de leur âge.
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              January 2002. About sixty transplanted children from fourteen different countries were invited by Liz Schick to spend a week in Anzère, a swiss ski resort. They talk about their heavy interventions, but also about the pleasure they have to meet each others , and to live the same things than the other young children of their age.
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            • Biographie cinéaste
            • Carole ROUSSOPOULOS

              Née en 1945, Carole Roussopoulos passe son enfance à Sion, avant de partir étudier à Lausanne. En 1967, elle quitte la Suisse pour Paris, où elle rencontre son futur mari, Paul Roussopoulos, avec lequel elle fonde le collectif militant « Video Out ». En 1970, sur les conseils de son ami Jean Genet, elle investit dans la première caméra portative : la fameuse Portapak lancée par Sony, et réalise son premier film « Genet parle d’Angela Davis ». C’est le début d’une importante production de films. Militante féministe, Carole Roussopoulos filme les femmes en luttes : les prostituées de Lyon, les manifestations pour l’avortement, les débats autour du viol, etc. Elle est de tous les combats et accompagne les nouveaux mouvements sociaux qui émergent dans la foulée de Mai 68 : les LIP, le F.H.A.R., le droit des immigrés, etc. En 1982, elle fonde le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir avec Delphine Seyrig et Ioana Wieder, premier centre d’archives audiovisuelles féministe, et continue à tourner en vidéo. Toujours soucieuse de donner la parole aux opprimé-e-s et aux oublié-e-s, elle travaille sur des sujets tabous : viol conjugal, excision, handicap, exclusion.
              Elle meurt le 22 octobre 2009, laissant derrière elle une œuvre colossale de plus de cent films.

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