BASE DE DONNÉES
            • Gagner sa vie

            • Cinéaste(s) : Carole ROUSSOPOULOS - Nicole FERNANDEZ FERRER
            • Date : 1984
            • Pays d'origine : France
            • Durée : 00:22:34
            • Format : Umatic
            • Coloration : Couleur
            • Son : Sonore
            • Langue initiale : Français
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            • Résumé
            • Ce reportage fait découvrir un stage (GRETA, association «Retravailler», Délégation Régionale des Droits de la Femme) visant l’insertion ou la réinsertion sociale et économique de mères assumant seules la charge de leurs enfants. Des femmes témoignent tour à tour de leur volonté de rompre avec la solitude et de sortir du ghetto où elles se trouvent enfermées. Elles expliquent combien ce stage a contribué à créer entre elles une solidarité.
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              This report presents a workshop (GRETA, “Back to Work” association, Regional Delegation for Women’s Rights) designed to help single mothers enter or re-enter the workforce. Women talk about their determination to break the loneliness and get out of the ghetto they are currently shut in. They talk about how important the workshop has been in creating solidarity between them.
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            • Biographie cinéaste
            • Carole ROUSSOPOULOS

              Née en 1945, Carole Roussopoulos passe son enfance à Sion, avant de partir étudier à Lausanne. En 1967, elle quitte la Suisse pour Paris, où elle rencontre son futur mari, Paul Roussopoulos, avec lequel elle fonde le collectif militant « Video Out ». En 1970, sur les conseils de son ami Jean Genet, elle investit dans la première caméra portative : la fameuse Portapak lancée par Sony, et réalise son premier film « Genet parle d’Angela Davis ». C’est le début d’une importante production de films. Militante féministe, Carole Roussopoulos filme les femmes en luttes : les prostituées de Lyon, les manifestations pour l’avortement, les débats autour du viol, etc. Elle est de tous les combats et accompagne les nouveaux mouvements sociaux qui émergent dans la foulée de Mai 68 : les LIP, le F.H.A.R., le droit des immigrés, etc. En 1982, elle fonde le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir avec Delphine Seyrig et Ioana Wieder, premier centre d’archives audiovisuelles féministe, et continue à tourner en vidéo. Toujours soucieuse de donner la parole aux opprimé-e-s et aux oublié-e-s, elle travaille sur des sujets tabous : viol conjugal, excision, handicap, exclusion.
              Elle meurt le 22 octobre 2009, laissant derrière elle une œuvre colossale de plus de cent films.

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