BASE DE DONNÉES
            • Paroles d'assistantes maternelles

            • Cinéaste(s) : Carole ROUSSOPOULOS - Aniko MARTON - Dominique BLIN-BASSET -
            • Date : 1983
            • Pays d'origine : France
            • Durée : 00:29:05
            • Format : Umatic
            • Coloration : Couleur
            • Son : Sonore
            • Langue initiale : Français
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            • Résumé
            • Le documentaire suit le quotidien d'assistantes maternelles (et un assistant maternel). Filmées chez elles, parmi les enfants dont elles ont la garde, elles parlent du choix de ce métier, de leur relation avec les enfants et les parents, et de la non-reconnaissance de leur profession. Une association est également présentée.
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              This documentary shows the daily life of child minders, including one male minder. They are filmed at home, with the children they look after. They talk about their career choice, their relationship with the children and their parents, and the lack of job recognition. The film also presents an association.
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            • Biographie cinéaste
            • Carole ROUSSOPOULOS

              Née en 1945, Carole Roussopoulos passe son enfance à Sion, avant de partir étudier à Lausanne. En 1967, elle quitte la Suisse pour Paris, où elle rencontre son futur mari, Paul Roussopoulos, avec lequel elle fonde le collectif militant « Video Out ». En 1970, sur les conseils de son ami Jean Genet, elle investit dans la première caméra portative : la fameuse Portapak lancée par Sony, et réalise son premier film « Genet parle d’Angela Davis ». C’est le début d’une importante production de films. Militante féministe, Carole Roussopoulos filme les femmes en luttes : les prostituées de Lyon, les manifestations pour l’avortement, les débats autour du viol, etc. Elle est de tous les combats et accompagne les nouveaux mouvements sociaux qui émergent dans la foulée de Mai 68 : les LIP, le F.H.A.R., le droit des immigrés, etc. En 1982, elle fonde le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir avec Delphine Seyrig et Ioana Wieder, premier centre d’archives audiovisuelles féministe, et continue à tourner en vidéo. Toujours soucieuse de donner la parole aux opprimé-e-s et aux oublié-e-s, elle travaille sur des sujets tabous : viol conjugal, excision, handicap, exclusion.
              Elle meurt le 22 octobre 2009, laissant derrière elle une œuvre colossale de plus de cent films.

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