BASE DE DONNÉES
            • Une journée ordinaire de Christine Ockrent

            • Cinéaste(s) : Carole ROUSSOPOULOS
            • Date : 1984
            • Pays d'origine : France
            • Durée : 00:30:40
            • Format : Umatic
            • Coloration : Couleur
            • Son : Sonore
            • Langue initiale : Français
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            • Résumé
            • Ce reportage suit Christine Ockrent à l’époque où elle était rédactrice en chef et présentatrice du journal télévisé sur Antenne 2 entre 1981 et 1985. Nous la suivons dans le rythme de son travail : conférence de rédaction, sélection des dépêches et des images, montage, rédaction et présentation du journal.
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              This report shows Christine Ockrent at a time when she was chief editor and newsreader of Antenne 2 television news between 1981 and 1985. We follow the rhythm of her work: from the editorial meeting, selection of news items and images through to the editing, write up and finally reading of the news.
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            • Biographie cinéaste
            • Carole ROUSSOPOULOS

              Née en 1945, Carole Roussopoulos passe son enfance à Sion, avant de partir étudier à Lausanne. En 1967, elle quitte la Suisse pour Paris, où elle rencontre son futur mari, Paul Roussopoulos, avec lequel elle fonde le collectif militant « Video Out ». En 1970, sur les conseils de son ami Jean Genet, elle investit dans la première caméra portative : la fameuse Portapak lancée par Sony, et réalise son premier film « Genet parle d’Angela Davis ». C’est le début d’une importante production de films. Militante féministe, Carole Roussopoulos filme les femmes en luttes : les prostituées de Lyon, les manifestations pour l’avortement, les débats autour du viol, etc. Elle est de tous les combats et accompagne les nouveaux mouvements sociaux qui émergent dans la foulée de Mai 68 : les LIP, le F.H.A.R., le droit des immigrés, etc. En 1982, elle fonde le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir avec Delphine Seyrig et Ioana Wieder, premier centre d’archives audiovisuelles féministe, et continue à tourner en vidéo. Toujours soucieuse de donner la parole aux opprimé-e-s et aux oublié-e-s, elle travaille sur des sujets tabous : viol conjugal, excision, handicap, exclusion.
              Elle meurt le 22 octobre 2009, laissant derrière elle une œuvre colossale de plus de cent films.

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