BASE DE DONNÉES
            • Cavistes nouveaux sont arrivés (Les)
            • Cavistes nouveaux sont arrivés (Les)

              Dans les caves coopératives gardoises

            • Cinéaste(s) : Carole ROUSSOPOULOS - Pierre VUARIN
            • Date : 1985
            • Pays d'origine : France
            • Durée : 00:17:30
            • Format :
            • Coloration : Couleur
            • Son : Sonore
            • Langue initiale : Français
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            • Résumé
            • À l’occasion de l’action expérimentale « Nouvelles Qualifications », destinées à former des jeunes au métier de caviste, certains témoignent de leur situation antérieure (chômage, échec scolaire…). Les gérants, « tuteurs » de ces jeunes, exposent leur démarche pour transmettre leur savoir-faire et leurs connaissances. Une seule jeune femme suit cette formation et, avec son tuteur, évoque l’originalité de la place des femmes dans cette profession exclusivement masculine.
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              With the "New Qualifications" project, young people, who are unemployed, learn how to be wine merchants. This documentaries shows how this learning takes place. There is only one women among all these men. She talks about the place of women in this kind of trade, which is mainly reserved for men.
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            • Biographie cinéaste
            • Carole ROUSSOPOULOS

              Née en 1945, Carole Roussopoulos passe son enfance à Sion, avant de partir étudier à Lausanne. En 1967, elle quitte la Suisse pour Paris, où elle rencontre son futur mari, Paul Roussopoulos, avec lequel elle fonde le collectif militant « Video Out ». En 1970, sur les conseils de son ami Jean Genet, elle investit dans la première caméra portative : la fameuse Portapak lancée par Sony, et réalise son premier film « Genet parle d’Angela Davis ». C’est le début d’une importante production de films. Militante féministe, Carole Roussopoulos filme les femmes en luttes : les prostituées de Lyon, les manifestations pour l’avortement, les débats autour du viol, etc. Elle est de tous les combats et accompagne les nouveaux mouvements sociaux qui émergent dans la foulée de Mai 68 : les LIP, le F.H.A.R., le droit des immigrés, etc. En 1982, elle fonde le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir avec Delphine Seyrig et Ioana Wieder, premier centre d’archives audiovisuelles féministe, et continue à tourner en vidéo. Toujours soucieuse de donner la parole aux opprimé-e-s et aux oublié-e-s, elle travaille sur des sujets tabous : viol conjugal, excision, handicap, exclusion.
              Elle meurt le 22 octobre 2009, laissant derrière elle une œuvre colossale de plus de cent films.

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