BASE DE DONNÉES
            • Femmes du Vietnam

            • Cinéaste(s) : Delphine SEYRIG - Sami FREI
            • Date : 1974
            • Pays d'origine :
            • Durée : 01:01:39
            • Format : Panier de diapos
            • Coloration : Noir & Blanc
            • Son : Sonore
            • Langue initiale :
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            • Résumé
            • Delphine Seyrig raconte la résistance du peuple vietnamien contre la France coloniale puis contre les Etats-Unis néocoloniaux. Elle rend compte du rôle important des femmes dans ces combats, malgré l'emprisonnement et les violences subies. La voix de l'actrice, nous donne à entendre les témoignages glaçants des prisonniers et prisonnières victimes de tortures, perpétrées par des soldats américains ou dans les prisons de l'état vietnamien. Delphine Seyrig déclame, enfin, des poèmes vietnamiens célébrant le courage des femmes et l'espoir dans la résistance à l’envahisseur.
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            • Biographie cinéaste
            • Delphine SEYRIG

              Née en 1932 à Beyrouth, Delphine Seyrig passe son enfance entre le Moyen-Orient et les Etats-Unis. En 1952 elle commence une carrière de comédienne en France, puis, s’envole pour New York afin de parfaire sa formation à l’Actor Studio. Après un premier long métrage « Pull my Daisy » en 1959, Delphine Seyrig tourne successivement avec Alain Resnais, François Truffaut, Luis Bunuel, Jacques Demy, Chantal Akerman dans les années 1960-1970. Parallèlement à sa carrière d’actrice, Delphine Seyrig rejoint les mouvements féministes qui se forment après Mai 68, et milite pour le droit à l’avortement. En 1971, elle est l’une des signataires du manifeste des 343. Dans le même temps, elle découvre la vidéo auprès de Carole Roussopoulos avec laquelle elle réalise entre autre « S.C.U.M Manifesto » en 1976 d’après le pamphlet de Valérie Solanas. La même année elle tourne « Sois belle et tais-toi ! », une plongée au cœur du sexisme qui règne au sein du milieu cinématographique.
              Avec ses complices Ioana Wieder et Carole Roussopoulos, elle créée en 1982 le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir, dont elle devient la présidente, jusqu’à sa mort en 1990.

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