BASE DE DONNÉES
            • Nous femmes, contre vents et marées

            • Cinéaste(s) : Carole ROUSSOPOULOS
            • Date : 1990
            • Pays d'origine : France
            • Durée : 00:30:20
            • Format : Umatic
            • Coloration : NB et Couleur
            • Son : Sonore
            • Langue initiale : Français
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            • Résumé
            • À travers la vie du Planning Familial, au quotidien, ce film nous offre la parole des femmes, réunissant toutes les générations, tous les milieux, toutes les cultures.
              Ces témoignages nous font partager les préoccupations actuelles des femmes, s’appuyant sur «l’histoire des luttes, l’histoire des acquis, qui sont fragiles et ça on ne le sait pas ...». C’est sur cet héritage commun que se construit l’avenir des femmes.
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              Through observation of daily life at the Family Planning Centre, the film shows women of different generations, different social and cultural backgrounds coming together and talking. Their experiences allow us to share the current concerns of women with reference to “the history of the struggle, the history of what has been achieved, yet is fragile and that, we don’t know...” Women’s future is built on this common heritage.
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            • Biographie cinéaste
            • Carole ROUSSOPOULOS

              Née en 1945, Carole Roussopoulos passe son enfance à Sion, avant de partir étudier à Lausanne. En 1967, elle quitte la Suisse pour Paris, où elle rencontre son futur mari, Paul Roussopoulos, avec lequel elle fonde le collectif militant « Video Out ». En 1970, sur les conseils de son ami Jean Genet, elle investit dans la première caméra portative : la fameuse Portapak lancée par Sony, et réalise son premier film « Genet parle d’Angela Davis ». C’est le début d’une importante production de films. Militante féministe, Carole Roussopoulos filme les femmes en luttes : les prostituées de Lyon, les manifestations pour l’avortement, les débats autour du viol, etc. Elle est de tous les combats et accompagne les nouveaux mouvements sociaux qui émergent dans la foulée de Mai 68 : les LIP, le F.H.A.R., le droit des immigrés, etc. En 1982, elle fonde le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir avec Delphine Seyrig et Ioana Wieder, premier centre d’archives audiovisuelles féministe, et continue à tourner en vidéo. Toujours soucieuse de donner la parole aux opprimé-e-s et aux oublié-e-s, elle travaille sur des sujets tabous : viol conjugal, excision, handicap, exclusion.
              Elle meurt le 22 octobre 2009, laissant derrière elle une œuvre colossale de plus de cent films.

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