BASE DE DONNÉES
            • Parrainage : une main tendue (Le)
            • Parrainage : une main tendue (Le)

            • Cinéaste(s) : Carole ROUSSOPOULOS
            • Date : 1998
            • Pays d'origine : France
            • Durée : 00:25:30
            • Format :
            • Coloration : Couleur
            • Son : Sonore
            • Langue initiale : Français
            • +-
            • Résumé
            • Créé en 1947, le Centre Français de Protection de l’Enfance ( CFPE ), mène des actions concrètes et novatrices en faveur des enfants en difficulté, voire en détresse, en raison de handicaps sociaux ou familiaux. Pour ces enfants, le parrainage peut être un moyen de vivre mieux leur enfance et de recevoir l’affection dont ils ont tant besoin. Il ne s’agit ni d’une adoption ni d’un placement, la famille de l’enfant reste le chef d’orchestre, comme l’expliquent des enfants, des parrains et marraines, une mère, des travailleurs sociaux et des responsables de l’association.
              ----------------
              The French Center for the Protection of Children, created in 1947, tries to lead concret and innovative actions in order to help the children who are in distress. With godfathers and godmothers, they find new supports without loosing their families.
            • +-
            • Biographie cinéaste
            • Carole ROUSSOPOULOS

              Née en 1945, Carole Roussopoulos passe son enfance à Sion, avant de partir étudier à Lausanne. En 1967, elle quitte la Suisse pour Paris, où elle rencontre son futur mari, Paul Roussopoulos, avec lequel elle fonde le collectif militant « Video Out ». En 1970, sur les conseils de son ami Jean Genet, elle investit dans la première caméra portative : la fameuse Portapak lancée par Sony, et réalise son premier film « Genet parle d’Angela Davis ». C’est le début d’une importante production de films. Militante féministe, Carole Roussopoulos filme les femmes en luttes : les prostituées de Lyon, les manifestations pour l’avortement, les débats autour du viol, etc. Elle est de tous les combats et accompagne les nouveaux mouvements sociaux qui émergent dans la foulée de Mai 68 : les LIP, le F.H.A.R., le droit des immigrés, etc. En 1982, elle fonde le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir avec Delphine Seyrig et Ioana Wieder, premier centre d’archives audiovisuelles féministe, et continue à tourner en vidéo. Toujours soucieuse de donner la parole aux opprimé-e-s et aux oublié-e-s, elle travaille sur des sujets tabous : viol conjugal, excision, handicap, exclusion.
              Elle meurt le 22 octobre 2009, laissant derrière elle une œuvre colossale de plus de cent films.

    Aide à la recherche

    Pour toute demande de devis, achat de droits, location, n'hésitez pas à contacter
    doc@centre-simone-de-beauvoir.com

    Powered by diasite
    Designed by diateam