BASE DE DONNÉES
            • Pour vous les filles !

            • Cinéaste(s) : Carole ROUSSOPOULOS
            • Date : 2006
            • Pays d'origine :
            • Durée : 00:25:30
            • Format :
            • Coloration : Couleur
            • Son : Sonore
            • Langue initiale : Français
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            • Résumé
            • La parution du livre « Les Femmes dans la mémoire de Genève » confirme le manque de reconnaissance envers les femmes qui ont marqué notre histoire. Par ailleurs, suite à une pétition sur l’absence de modèles féminins dans les programmes scolaires, Amal Safi rencontre Franceline Dupenloup, responsable égalité au DIP. Grâce aux études genre, différents travaux mettent enfin en lumière l’apport inestimable des femmes. Patricia Roux, nous précise le but de ces études, et deux de ses étudiants expliquent pourquoi ils y participent. L’absence de modèles féminins dans les sciences et la technique est l’une des raisons du faible pourcentage de femmes ingénieures, comme nous le confirment deux étudiantes de la Haute école valaisanne.
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            • Biographie cinéaste
            • Carole ROUSSOPOULOS

              Née en 1945, Carole Roussopoulos passe son enfance à Sion, avant de partir étudier à Lausanne. En 1967, elle quitte la Suisse pour Paris, où elle rencontre son futur mari, Paul Roussopoulos, avec lequel elle fonde le collectif militant « Video Out ». En 1970, sur les conseils de son ami Jean Genet, elle investit dans la première caméra portative : la fameuse Portapak lancée par Sony, et réalise son premier film « Genet parle d’Angela Davis ». C’est le début d’une importante production de films. Militante féministe, Carole Roussopoulos filme les femmes en luttes : les prostituées de Lyon, les manifestations pour l’avortement, les débats autour du viol, etc. Elle est de tous les combats et accompagne les nouveaux mouvements sociaux qui émergent dans la foulée de Mai 68 : les LIP, le F.H.A.R., le droit des immigrés, etc. En 1982, elle fonde le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir avec Delphine Seyrig et Ioana Wieder, premier centre d’archives audiovisuelles féministe, et continue à tourner en vidéo. Toujours soucieuse de donner la parole aux opprimé-e-s et aux oublié-e-s, elle travaille sur des sujets tabous : viol conjugal, excision, handicap, exclusion.
              Elle meurt le 22 octobre 2009, laissant derrière elle une œuvre colossale de plus de cent films.

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