BASE DE DONNÉES
            • S.O.S. hirondelle en Dordogne
            • S.O.S. hirondelle en Dordogne

            • Cinéaste(s) : Carole ROUSSOPOULOS
            • Date : 1975
            • Pays d'origine : France
            • Durée : 00:50:00
            • Format :
            • Coloration : Noir & Blanc
            • Son :
            • Langue initiale :
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            • Résumé
            • L’aventure peu banale d’une enseignante (en mai 68, elle organise la crèche de la Sorbonne occupée) devenue fermière en Dordogne pour accueillir des enfants des villes dans des "classes vertes" où ils pourraient avoir un rapport vrai avec une campagne réelle et non plus avec cette campagne d’Epinal des livres scolaires.
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              The unusual adventure of a teacher (in May 68, she organised childcare during the occupation of the Sorbonne) turned farmer in Dordogne in order to offer city children “green classes”, which would give them real contact with country life rather than the fictional country of school books.
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            • Biographie cinéaste
            • Carole ROUSSOPOULOS

              Née en 1945, Carole Roussopoulos passe son enfance à Sion, avant de partir étudier à Lausanne. En 1967, elle quitte la Suisse pour Paris, où elle rencontre son futur mari, Paul Roussopoulos, avec lequel elle fonde le collectif militant « Video Out ». En 1970, sur les conseils de son ami Jean Genet, elle investit dans la première caméra portative : la fameuse Portapak lancée par Sony, et réalise son premier film « Genet parle d’Angela Davis ». C’est le début d’une importante production de films. Militante féministe, Carole Roussopoulos filme les femmes en luttes : les prostituées de Lyon, les manifestations pour l’avortement, les débats autour du viol, etc. Elle est de tous les combats et accompagne les nouveaux mouvements sociaux qui émergent dans la foulée de Mai 68 : les LIP, le F.H.A.R., le droit des immigrés, etc. En 1982, elle fonde le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir avec Delphine Seyrig et Ioana Wieder, premier centre d’archives audiovisuelles féministe, et continue à tourner en vidéo. Toujours soucieuse de donner la parole aux opprimé-e-s et aux oublié-e-s, elle travaille sur des sujets tabous : viol conjugal, excision, handicap, exclusion.
              Elle meurt le 22 octobre 2009, laissant derrière elle une œuvre colossale de plus de cent films.

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