BASE DE DONNÉES
            • S.O.S. j'accouche

            • Cinéaste(s) : Carole ROUSSOPOULOS - Francine DAUPHIN - Dominique HERVÉ - Liliane SIEGEL
            • Date : 1982
            • Pays d'origine : France
            • Durée : 00:49:40
            • Format : Umatic
            • Coloration : Couleur
            • Son : Sonore
            • Langue initiale : Français
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            • Résumé
            • Ce document, chose rare, dit toute la vérité sur ce que peut être l'accouchement. Tandis qu’une voix hors-champ évoque la souffrance de celle qui va donner la vie, dénonce sa solitude et l’absence de structures adéquates pour l’aider à affronter ce moment, on assiste aux différentes phases de l’accouchement d’une femme à la maternité de l'hôpital Antoine Béclère de Clamart.
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              At last, a documentary that tells the real story of childbirth. While a voice-over speaks about the pain of the woman who is about to give birth, her loneliness and the lack of adequate support systems to help her through this ordeal, we watch a woman in a maternity ward (hôpital Antoine Béclère / Clamart) go through the different phases of giving birth.
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            • Biographie cinéaste
            • Carole ROUSSOPOULOS

              Née en 1945, Carole Roussopoulos passe son enfance à Sion, avant de partir étudier à Lausanne. En 1967, elle quitte la Suisse pour Paris, où elle rencontre son futur mari, Paul Roussopoulos, avec lequel elle fonde le collectif militant « Video Out ». En 1970, sur les conseils de son ami Jean Genet, elle investit dans la première caméra portative : la fameuse Portapak lancée par Sony, et réalise son premier film « Genet parle d’Angela Davis ». C’est le début d’une importante production de films. Militante féministe, Carole Roussopoulos filme les femmes en luttes : les prostituées de Lyon, les manifestations pour l’avortement, les débats autour du viol, etc. Elle est de tous les combats et accompagne les nouveaux mouvements sociaux qui émergent dans la foulée de Mai 68 : les LIP, le F.H.A.R., le droit des immigrés, etc. En 1982, elle fonde le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir avec Delphine Seyrig et Ioana Wieder, premier centre d’archives audiovisuelles féministe, et continue à tourner en vidéo. Toujours soucieuse de donner la parole aux opprimé-e-s et aux oublié-e-s, elle travaille sur des sujets tabous : viol conjugal, excision, handicap, exclusion.
              Elle meurt le 22 octobre 2009, laissant derrière elle une œuvre colossale de plus de cent films.

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